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Ruinart révolutionne le packaging des champagnes avec un étui seconde peau recyclable

Une nouvelle fois, la maison Ruinart fait preuve de son avant-gardisme en imaginant une coque seconde peau éco-responsable conçue pour préserver l'intégrité du goût Ruinart jusqu'à la dégustation. Une véritable prouesse technologique qui n’a pas fait l’impasse sur le style.
alcohol beverage drink wine bottle

La plus vieille maison de champagne n’en est pas à son coup d’essai. Habitué à bousculer les standards de la profession, en 2020, Ruinart rompt avec la tradition des coffrets unitaires, et va plus loin dans sa démarche environnementale avec la conception d’un nouvel étui pour ses cuvées. Imaginée comme une seconde peau épousant parfaitement les courbes emblématiques des flacons, l’enveloppe a été éco-conçue, confirmant la volonté de la maison historique de s’investir dans le développement durable.

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© Ruinart

Là où un coffret statutaire faisait sens hier, un habit composé à 100 % de fibres de cellulose, entièrement recyclable, s’impose aujourd’hui avec légèreté. Innovation durable, l’étui seconde peau prône un retour à la nature : il vise à réduire et recycler sans dénaturer ni l’expérience, ni le goût. "Avec cet étui seconde peau, la Maison Ruinart confirme son rôle pionnier en Champagne, et son ambition en termes de responsabilité sociale et environnementale. Ce projet disruptif cristallise notre engagement pour un développement plus durable sur l’ensemble des étapes d’élaboration et de commercialisation de nos vins, depuis la culture de la vigne jusqu’à l’expérience de dégustation", explique Frédéric Dufour, Président de la Maison Ruinart.

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© Ruinart

Côté look, l’étui est un hommage direct aux crayères. La coque minimaliste en papier se double ainsi d’un toucher doux et d’une surface texturée qui rappellent les caves historiques de la Maison, à Reims. Le design de l'étui réinterprète la gestuelle des établissements gastronomiques : il est inspiré par la manière dont les maîtres d’hôtels enroulent une serviette blanche autour des bouteilles de champagne.

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© Ruinart

Véritable prouesse technologique, au total, 7 prototypes ont été nécessaires pour mettre au point cette coque. L’utilisation de la fibre de cellulose ou pâte à papier a nécessité de résoudre deux défis technologiques. Le premier était de rendre l’étui imperméable à la lumière qui peut altérer le vin, notamment pour les flacons en verre clair. Le papier seul n’était pas une protection suffisante pour filtrer toutes les ondes lumineuses. Une nouvelle technique a alors été développée pour enrichir la pâte de cellulose d’un oxyde métallique naturel qui renforce l'opacité de cette seconde peau protectrice. Le second était de s’assurer que l’étui protège le vin jusqu’à la dégustation, résiste aux usages de service, y compris à l’humidité, sans se détériorer. Adapté à une conservation au réfrigérateur, l’enveloppe conserve son intégrité plusieurs heures dans un seau rempli de glace. Ruinart propose ainsi une nouvelle gestuelle.

 

R de Ruinart, étui seconde peau : 50 €
R de Ruinart 2011, étui seconde peau : 73 €
Ruinart Blanc de Blancs, étui seconde peau : 73 €
Ruinart Rosé, étui seconde peau : 73 €

Disponible début octobre chez les meilleurs cavistes.

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