Louise Robert, l’incarnation (belge) d’une liberté nouvelle avec ZADIG
ZADIG, le nouveau parfum de Zadig & Voltaire, célèbre une féminité libre et audacieuse. Incarné par Louise Robert, il devient un manifeste olfactif pour une génération prête à s’envoler.
La liberté a un nouveau nom : ZADIG. Avec cette nouvelle fragrance, Zadig & Voltaire signe un manifeste olfactif pour une génération qui n’a pas peur d’oser. Pensé comme un appel à l’émancipation, ZADIG célèbre celles qui tracent leur propre route, celles qui embrassent leur audace et leur singularité. Entre notes magnétiques et flacon disruptif, il bouscule les codes et s’affirme comme l’accessoire ultime de l’allure Zadig & Voltaire.
Pour incarner cette vision résolument moderne, la Maison parisienne a choisi Louise Robert, étoile montante du mannequinat international. Née en Belgique en 1999, repérée par hasard à 14 ans dans les rues d’Anvers, elle a depuis défilé pour les plus grandes maisons – Prada, Chanel, Dior, Versace – et posé sous l’objectif de photographes de renom. Forte d’une carrière fulgurante, elle jongle entre les podiums et une soif insatiable d’exploration. Car pour Louise, la mode est un terrain de jeu, mais aussi un espace de liberté. Passionnée de danse et d’art sous toutes ses formes, elle incarne à la perfection l’esprit ZADIG : indépendant, affirmé et infiniment inspirant.
ZADIG : une fragrance addictive et audacieuse
Dix ans après le succès de THIS IS HER!, Zadig & Voltaire dévoile une nouvelle partition olfactive signée par les parfumeurs Amandine Clerc-Marie et Florian Gallo. Un floral boisé où les contrastes se révèlent dès les premières notes : l’accord de sésame blanc crémeux et de sésame noir intense se mêle à la fraîcheur fusante du gingembre, pour un choc olfactif inattendu. Au cœur, la fleur d’oranger dévoile ses multiples facettes, entre spontanéité, sensualité et mystère. Le sillage, lui, s’achève dans un tourbillon de vanille addictive et de bois de santal enveloppant, pour une empreinte inoubliable.
À cette fragrance puissante s’ajoute un flacon iconique : posé à l’horizontale, tel un défi aux conventions, il réinvente les codes du design parfum. Chaque détail est pensé pour incarner l’esprit Zadig & Voltaire : les ailes, signature de la Maison, se déploient en verre sculpté, tandis que le format rechargeable s’inscrit dans une démarche plus responsable.
Un flacon bijou, une fragrance vibrante, une égérie inspirante… ZADIG est plus qu’un parfum, c’est un élan, une déclaration, un souffle de liberté. Qui mieux que Louise Robert pour en incarner la puissance ? Rencontre avec une femme qui n’a pas peur de s’envoler.
Qu'est-ce qui vous a attirée vers le mannequinat ? Y a-t-il eu un moment décisif dans votre parcours ?
Je ne pensais pas devenir mannequin un jour. C’est arrivé de manière inattendue : je faisais du shopping avec ma famille à Anvers, et quelqu’un m’a approchée pour me demander si je voulais devenir modèle. C’était une vraie surprise. Nous avons discuté, et tout a commencé petit à petit. Je n’avais jamais réfléchi à cette possibilité. J’ai énormément appris sur le métier de mannequin. À 17 ans, j’ai fait mon premier défilé pour Prada. C’était vraiment incroyable. En huit ans, j’ai participé à de nombreux projets. Ce métier, c’est un peu comme une montagne russe. Concernant cette campagne, chaque mannequin rêve d’une collaboration autour du maquillage ou du parfum. Maintenant que cela m’arrive, c’est une expérience extraordinaire.
Comment s'est passée votre rencontre avec Zadig & Voltaire ? Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans leur univers ?
Tout a commencé par un casting vidéo où j’ai présenté qui je suis et ce que je fais. J’y ai aussi exprimé mon envie d’explorer de nouvelles choses, d’expérimenter et d’être simplement moi-même. Je crois que cette authenticité les a séduits, car la marque valorise l’inspiration, l’unicité et la liberté. Durant le shooting à Paris, qui a duré trois jours, j’ai ressenti une véritable connexion avec leur univers. J’ai discuté avec le directeur pour définir la campagne, la femme Zadig & Voltaire, ce qu’elle aime et ce qu’elle représente. Il m’a permis d’ajouter ma touche personnelle, de choisir la musique pour me sentir à l’aise, notamment pendant les scènes de danse. C’était une collaboration vraiment enrichissante.
Vous incarnez une nouvelle fragrance. Quels souvenirs ou émotions cette fragrance vous évoque-t-elle ?
La première fois que je l’ai senti, j’ai immédiatement perçu ses notes fraîches, orangées et fleuries, avec une pointe de vanille. Cela m’a donné une sensation de jeunesse et d’énergie. Plus je l’ai exploré, plus j’ai découvert ses facettes profondes et équilibrées. Ce parfum me donne confiance en moi et me motive à entamer chaque journée avec enthousiasme.
Y a-t-il une personnalité qui vous inspire particulièrement dans votre métier ?
Je ne suis pas du genre à idolâtrer quelqu’un, mais je trouve mon inspiration dans les modèles autour de moi. Nous sommes tous uniques et donnons le meilleur de nous-mêmes. Ces échanges m’enrichissent et m’incitent à devenir la meilleure version de moi-même.
Comment décririez-vous votre style en trois mots ?
Classique, pour ses bonnes qualités et ses basiques intemporels. Versatile, car j’aime mélanger différentes pièces dans mes tenues. Original, avec des accessoires qui relèvent l’ensemble, comme des chaussures audacieuses, un sac coloré ou une veste originale.
Quelle est la pièce incontournable de votre garde-robe ?
Une veste en cuir que ma mère m’a transmise. Fabriquée en Europe, sa qualité est exceptionnelle. Elle convient à toutes les occasions, qu’il s’agisse d’une journée décontractée ou d’un événement chic.
Avez-vous un rituel de beauté ou un produit fétiche que vous emportez partout ?
Ma routine est minimaliste. Je nettoie mon visage, je mets de la crème solaire SPF, un gel à sourcils et du baume à lèvres. Je ne sors jamais sans parfum, un indispensable pour me sentir confiante.
À quoi ressemble une journée type pour vous, entre votre vie professionnelle et personnelle ?
Je privilégie les matins tranquilles, avec un bon petit-déjeuner et une promenade. Quand j’en ai le temps, je prends un cours de sport, comme du vélo ou du pilates à Anvers, au Rite. J’aime aussi passer du temps avec ma famille et mes amis.
Quels sont vos endroits préférés pour vous ressourcer, que ce soit en Belgique ou ailleurs ?
Peu importe où je suis, me poser dans un parc, lire, écouter de la musique ou observer les gens me fait beaucoup de bien. J’apprécie aussi écrire dans un journal pour poser mes pensées. À Anvers, j’adore le restaurant Jackie pour son ambiance cosy et calme, ainsi que le bar Hopper près du musée des arts.
En dehors du mannequinat, quelles sont vos passions ?
Voyager. C’est l’un des avantages du métier. Découvrir de nouvelles cultures, villes, cuisines et personnes est une grande source de bonheur. En Belgique, la position centrale permet de voyager facilement en voiture. J’aime aussi organiser de plus grands voyages, comme celui que j’ai récemment fait à Mexico.
Si vous deviez choisir une époque de la mode pour vous y plonger, laquelle choisiriez-vous et pourquoi ?
Les années 70 ou 80, pour leurs inspirations bohèmes et rock. Les pantalons de cette époque, qu’ils soient en jean ou de costume, allongeaient la silhouette et étaient incroyables. Si je pouvais trouver un modèle parfait, je le porterais tous les jours.
La mode belge est unique et éclectique. En quoi cela influence-t-il votre style ou votre vision de la mode ?
Anvers m’a appris que chacun peut exprimer son originalité. Les designers belges sont variés et uniques, comme les styles qu’on voit dans la rue. Cela m’inspire à choisir mes propres tenues sans suivre des tendances imposées.
En tant qu'égérie d'un parfum, quel message ou quelle émotion aimeriez-vous transmettre à ceux qui porteront cette fragrance ?
J’aimerais que ceux qui le portent se sentent pleins d’énergie, confiants et libres d’être eux-mêmes.