Art & Culture
Du XVe au XVIIe siècles, on les brûlait vives pour avoir affiché un mysticisme suspect, un caractère bien trempé ou une sexualité trop débridée. Aujourd’hui, on les porte aux nues pour leurs revendications féministes, leur aura d’outsider et leur beauté sulfureuse. Du bûcher au piédestal, comment la figure de la sorcière est devenue une égérie pop, engagée et ultramoderne.